GSK et l’Alliance pancanadienne pharmaceutique (APP) concluent les négociations concernant l’utilisation de JEMPERLI en association avec une chimiothérapie pour toutes les patientes adultes atteintes d’un cancer de l’endomètre primitif à un stade avancé ou présentant une première récidive
- Il s’agit d’une étape importante en vue d’obtenir un remboursement par les régimes publics; il appartient désormais aux gouvernements provinciaux et territoriaux de prendre les décisions qui s’imposent pour permettre aux patientes de bénéficier de ce traitement important.
MISSISSAUGA (ONTARIO) – GSK est heureuse d’annoncer qu’elle a conclu les négociations avec l’Alliance pancanadienne pharmaceutique (APP) concernant l’utilisation de Jemperli (dostarlimab pour injection) en association avec le carboplatine et le paclitaxel pour le traitement des patientes adultes atteintes d’un cancer de l’endomètre primitif à un stade avancé ou présentant une première récidive qui sont candidates à un traitement à action générale, y compris les patientes présentant des tumeurs présentant un SRM fonctionnel ou une stabilité microsatellitaire (SMS), ce qui représente environ 75 % des patientes ayant reçu un diagnostic de cancer de l’endomètre. Les négociations se sont terminées le 2 décembre 2025 par l’obtention d’une lettre d’intention.
« Les négociations fructueuses entre GSK et l’APP constituent une étape cruciale vers l’amélioration de l’accès à des traitements novateurs pour les patientes atteintes d’un cancer de l’endomètre à un stade avancé ou récidivant », a déclaré Tania Vrionis, directrice générale de Cancer de l’ovaire Canada. « Comme le cancer de l’endomètre est le cancer gynécologique le plus courant et que sa prévalence n’a pas cessé d’augmenter au Canada au cours des deux dernières décennies, cette annonce fait ressortir l’importance d’assurer l’accès à des traitements susceptibles d’avoir une incidence importante sur les résultats cliniques pour les patientes et leur qualité de vie. Nous saluons l’engagement de GSK à répondre aux besoins de l’ensemble de la communauté des patientes et son dévouement à l’égard de l’avancement des soins en oncologie gynécologique. »
GSK demeure déterminée à assurer un accès rapide au remboursement de Jemperli par les régimes publics pour les personnes atteintes d’un cancer de l’endomètre. Grâce à une étroite collaboration avec l’APP par l’intermédiaire du processus de négociation ciblé (PNC), qui s’inscrit dans les voies de négociation accélérée de l’APP, GSK a réussi à conclure les négociations pour l’indication élargie de Jemperli. Le leadership de l’APP et notre engagement commun à établir des partenariats pour offrir et assurer un accès à des traitements novateurs pour les patients sont bien accueillis par GSK, d’autant plus que les cas de cancer – y compris ceux qui touchent les femmes – continuent d’augmenter au Canada.
« Nous sommes heureux de constater que notre PNC a mené à des négociations fructueuses concernant Jemperli pour les patientes adultes atteintes d’un cancer de l’endomètre primitif à un stade avancé ou présentant une première récidive », a déclaré Mauro Chies, chef de la direction de l’APP. « Il s’agit d’un excellent exemple d’un processus de négociation accéléré en action, avec des partenaires qui collaborent pour conclure une entente, qui appuie rapidement la couverture de nouveaux médicaments pour des patients qui en ont besoin. »
Cette étape souligne la nécessité d’accélérer l’obtention du remboursement par les régimes publics. Par conséquent, GSK se réjouit à l’idée de collaborer avec les gouvernements provinciaux et territoriaux et d’autres intervenants clés pour assurer l’accès à Jemperli par l’intermédiaire des régimes publics d’assurance médicaments pour l’ensemble de la population de patientes atteintes d’un cancer de l’endomètre primitif à un stade avancé ou récidivant.
« Le remboursement par les régimes publics est essentiel pour veiller à ce que les patientes admissibles atteintes d’un cancer de l’endomètre aient accès à cette option de traitement importante », a déclaré Sridhar Venkatesh, président et directeur général de GSK Canada. « Cette étape représente un progrès important, et nous nous réjouissons à l’idée d’engager des discussions constructives avec les gouvernements régionaux et les intervenants. »
À propos du cancer de l’endomètre
Le cancer de l’endomètre prend naissance dans la paroi interne de l’utérus, appelée endomètre. Le cancer de l’endomètre est le cancer gynécologique le plus courant dans les pays développésii, avec environ 1,6 million de personnes vivant avec une maladie active à n’importe quel stade et 417 000 nouveaux cas signalés chaque année dans le mondeiii. Les taux d’incidence devraient augmenter d’environ 40 % entre 2020 et 2040iv. Au Canada, on estime que 8600 femmes ont reçu un diagnostic de cancer de l’endomètre en 2024, parmi lesquelles environ 1600 ont succombé à la maladiev. Environ 15 à 20 % des patientes atteintes d’un cancer de l’endomètre présentent un stade avancé de la maladie au moment du diagnosticvi. Parmi les patientes atteintes d’un cancer de l’endomètre primitif à un stade avancé ou récidivant, environ 75 % ont une tumeur avec SRM fonctionnel ou SMSi.
À propos de Jemperli (dostarlimab pour injection)
Jemperli est un anticorps bloquant le récepteur 1 de mort cellulaire programmée (PD-1) qui se lie au récepteur PD-1 et bloque son interaction avec les ligands PD-L1 et PD-L2 de PD-1)vii. Au Canada, Jemperli (dostarlimab pour injection) est indiqué en association avec le carboplatine et le paclitaxel pour le traitement des patientes adultes atteintes d’un cancer de l’endomètre primitif à un stade avancé ou présentant une première récidive du cancer de l’endomètre primitif qui sont candidates à un traitement à action générale, ce qui comprend les patientes atteintes de tumeurs sans déficience du SRM/IMS ou associées à une déficience du SRM ou à une IMS élevée. Jemperli est également approuvé en monothérapie pour le traitement des patientes adultes atteintes d’un cancer de l’endomètre récidivant ou à un stade avancé associé à une déficience du SRM ou à une IMS élevée, qui a évolué pendant ou après une chimiothérapie antérieure à base de platine.
Veuillez consulter la monographie de produit sur le site www.gsk.ca pour obtenir des renseignements complets sur l’innocuité. Vous pouvez également vous procurer la monographie de produit en composant le 1-800-387-7374.
L’oncologie gynécologique chez GSK
GSK s’est engagée à maximiser la survie des patients grâce à des médicaments prometteurs, en mettant l’accent sur les percées en oncologie, y compris les cancers gynécologiques, certains des cancers les plus courants qui touchent les femmes. Nous nous concentrons sur le développement de nouveaux médicaments aux modes d’action différents pour traiter divers cancers, y compris le cancer de l’ovaire et le cancer de l’endomètre.
À propos de GSK
GSK est une société biopharmaceutique mondiale qui a pour ambition et raison d’être de réunir science, technologie et talent, car ensemble, on peut prendre une longueur d’avance sur la maladie. Pour en savoir plus, consultez le site www.ca.gsk.com/fr-ca/.
Mise en garde concernant les énoncés prévisionnels
GSK met en garde les investisseurs que tout énoncé prévisionnel ou toute prévision de GSK, y compris ce qui a été dit dans la présente annonce, sont soumis à des risques et des incertitudes qui pourraient faire en sorte que les résultats réels diffèrent sensiblement de ceux projetés. Ces facteurs comprennent, sans toutefois s’y limiter, ceux décrits dans la section « Facteurs de risque » du rapport annuel de GSK sur le formulaire 20-F de 2024 et les résultats du T2 de 2025 de GSK.
Références
i. D’après CMP:CancerMPact® [Patient Metrics], Cerner Enviza. Disponible au www.cancermpact.com.
ii. Faizan U., Muppidi V. Uterine Cancer. [Mis à jour le 5 septembre 2022]. Dans : StatPearls [Internet]. Treasure Island (Floride) : StatPearls Publishing; 2022 Jan. Disponible au : www.ncbi.nlm.nih.gov/books/NBK562313/. i
ii. Sung H, Ferlay J, Siegel R et al. Global Cancer Statistics 2020: GLOBOCAN Estimates of Incidence and Mortality Worldwide for 36 Cancers in 185 Countries. CA Cancer J Clin. 2021;71(3):209-249. doi:10.3322/caac.21660.
iv. International Research on Cancer. Global Cancer Observatory. Cancer Tomorrow. Gco.iarc.fr/tomorrow/fr/dataviz/.
v. Lee, S. (2021). Statistiques sur le cancer de l’utérus. Société canadienne du cancer. https://cancer.ca/fr/cancer-information/cancer-types/uterine/statistics.
vi. CMP : CancerMPact® Patient Metrics Mar-2023, Cerner Enviza. Disponible au : www.cancermpact.com. Consulté le 18 mars 2025.
vii. Laken H., Kehry M., Mcneeley P. et al. Identification and characterization of TSR-042, a novel anti-human PD-1 therapeutic antibody. European Journal of Cancer. 2016;69,S102. doi:10.1016/s0959-8049(16)32902.