GSK et l’Alliance pancanadienne pharmaceutique (APP) concluent les négociations avec succès concernant JEMPERLI pour le traitement des patientes atteintes d’un cancer de l’endomètre récidivant ou à un stade avancé associé à une déficience du SRM ou à une IMS élevée

MISSISSAUGA (Ontario) GSK est heureuse d’annoncer qu’elle a mené à bien les négociations avec l’Alliance pancanadienne pharmaceutique (APP) concernant Jemperli (dostarlimab pour injection) en association avec une chimiothérapie à base de carboplatine et de paclitaxel pour le traitement des patientes adultes atteintes d’un cancer de l’endomètre primitif à un stade avancé ou récidivant associé à une déficience du système de réparation des mésappariements (SRM) ou à une instabilité microsatellitaire (IMS) élevée. Les négociations se sont terminées le 11 octobre 2024 par l’obtention d’une lettre d’intention.

GSK est déterminée à assurer un accès public rapide à Jemperli pour les patientes atteintes d'un cancer de l'endomètre. Nous reconnaissons les efforts de l’APP et son engagement partagé à l'égard de l'atteinte de cet objectif. Cette étape importante souligne la nécessité progresser rapidement vers le remboursement public, à ce titre, GSK est impatiente de collaborer avec les gouvernements provinciaux et territoriaux et d'autres intervenants pour que Jemperli soit disponible dans le cadre des régimes publics d'assurance-médicaments

« Nous nous réjouissons à l’idée de collaborer avec les gouvernements et les intervenants régionaux afin qu’il y ait un remboursement dans chaque province et territoire, pour que les personnes atteintes d’un cancer de l’endomètre, particulièrement à un stade avancé, puissent accéder à Jemperli », a déclaré Sridhar Venkatesh, président et directeur général, GSK Canada. « Nous demeurons déterminés à faire progresser notre gamme de produits d’immuno-oncologie et à mettre au point de nouveaux traitements au profit des Canadiennes atteintes d’un cancer de l’endomètre et d’autres types de tumeurs solides. »

« Cette annonce représente une étape cruciale pour les patientes atteintes d'un cancer de l'endomètre au Canada », a déclaré Filomena Servidio-Italiano, Présidente et PDG, Réseau d’informations et soutien pour le cancer colorectal (RISCC), un groupe de défense des patients consacré à l’amélioration de la longévité et de la qualité de vie de tous les patients atteints de cancer au Canada. « Je salue les efforts de GSK et de l'APP pour rendre cette option de traitement accessible aux patientes canadiennes par le biais d'un remboursement public, ce qui pourrait avoir un impact positif sur leurs soins contre le cancer. »

Jemperli comme option de traitement en association avec le carboplatine et le paclitaxel a été approuvé par Santé Canada en 2023 pour les patientes atteintes d’un cancer de l’endomètre primitif à un stade avancé ou récidivant associé à une déficience du SRM ou à une IMS élevée qui sont candidates à un traitement à action générale.

À propos du cancer de l’endomètre

Le cancer de l’endomètre prend naissance dans la paroi interne de l’utérus, appelée endomètre. Le cancer de l’endomètre est l’un des cancers gynécologiques les plus fréquents dans les pays développés[i]. Au Canada, environ 8100 nouveaux cas de cancer de l’endomètre sont diagnostiqués chaque année.[ii] Les taux d’incidence devraient augmenter de près de 40 % d’ici 2040[iii],[iv].

Environ 15 à 20 % des patientes atteintes d’un cancer de l’endomètre présentent un stade avancé de la maladie au moment du diagnostic[v],[vi]. On estime que de 20 à 29 % de tous les cancers de l’endomètre présentent une déficience du SRM ou une IMS élevée[vii] . La chimiothérapie est actuellement le traitement de référence pour la majorité des patientes atteintes de cancer de l’endomètre primitif à un stade avancé ou récidivant, et de nombreuses patientes finissent par connaître une progression de la maladie[viii].

À propos de Jemperli

Jemperli est un anticorps bloquant le récepteur 1 de mort cellulaire programmée (PD-1) qui se lie au récepteur PD-1 et bloque son interaction avec les ligands PD-L1 et PD-L2 de PD-1. Au Canada, Jemperli (dostarlimab pour injection) est indiqué en association avec le carboplatine et le paclitaxel pour le traitement des patientes adultes atteintes d’un cancer de l’endomètre primitif à un stade avancé ou récidivant associé à une déficience du système de réparation des mésappariements (SRM) ou à une instabilité microsatellitaire (IMS) élevée qui sont candidates à un traitement à action générale, et en monothérapie pour le traitement des patientes adultes atteintes d’un cancer de l’endomètre récidivant ou à un stade avancé associé à une déficience du SRM ou à une IMS élevée, qui a évolué pendant ou après une chimiothérapie antérieure à base de platine. Santé Canada a aussi accepté d’examiner une indication élargie de Jemperli pour le traitement du cancer de l’endomètre primitif à un stade avancé.

Veuillez consulter la monographie de produit sur le site www.gsk.ca pour obtenir des renseignements complets sur l’innocuité. Vous pouvez également obtenir la monographie du produit en composant le 1-800-387-7374.

L’oncologie gynécologique chez GSK

GSK s’est engagée à maximiser la survie des patients grâce à des médicaments prometteurs, en mettant l’accent sur les percées en oncologie, y compris les cancers gynécologiques, certains des cancers les plus courants qui touchent les femmes. Nous nous concentrons sur le développement de nouveaux médicaments aux modes d’action différents, utilisés à la fois en monothérapie et en association pour traiter divers cancers, y compris le cancer de l’ovaire et le cancer de l’endomètre. Notre approche unique en matière de recherche et de développement fait appel à la létalité synthétique et à l’immuno-oncologie pour cibler des protéines et des biomarqueurs précis des cancers de l’ovaire et de l’endomètre, ce qui nous permet de développer des traitements ciblés.

À propos de GSK

Nous sommes une société biopharmaceutique mondiale dont la raison d’être est de réunir la science, la technologie et le talent, car ensemble, il est possible de prendre une longueur d’avance sur la maladie. Pour en savoir plus, consultez le site https://ca.gsk.com/fr-ca/.

Références

[i] Faizan U., Muppidi V. Uterine Cancer. [Mis à jour le 5 septembre 2022]. Dans : StatPearls [Internet]. Treasure Island (Floride) : StatPearls Publishing; janvier 2022. Disponible au https://www.ncbi.nlm.nih.gov/books/NBK562313/.

[ii] Lee, S. (n.d.). Statistiques canadiennes sur le cancer. Société canadienne du cancer. https://cancer.ca/fr/research/cancer-statistics/canadian-cancer-statistics.

[iii] Braun MM, et al. Am Fam Physician. 2016;93(6):468-474.

[iv] International Research on Cancer. Global Cancer Observatory. Cancer Tomorrow. https://gco.iarc.fr/tomorrow/en/dataviz/. Consulté le 13 juillet 2022.

[v] Cerner Enviza CancerMPact® Patient Metrics 2022. CMP: CancerMPact® [Patient Metrics], Cerner Enviza. Disponible au www.cancermpact.com. Consulté le 11 mai 2023.

[vi] CancerMPact® [Architecture de traitement], Cerner Enviza. Disponible au www.cancermpact.com. Consulté le 11 mai 2023.

[vii] Cerner Enviza CancerMPact® [Architecture de traitement]. Disponible au www.cancermpact.com. Consulté le 14 avril 2023.

[viii] Halla K. Emerging Treatment Options for Advanced or Recurrent Endometrial Cancer. J Adv Pract Oncol. Janvier 2022;13(1):45-59. doi: 10.6004/jadpro.2022.13.1.4. Publication électronique 1er février 2022. PMID: 35173988; PMCID: PMC8805805.